by Gérard Fenoy – La progression de l’extrême-droite en Amérique Latine peut facilement apparaître comme un retour de balancier : après des gouvernements sensibles à répartir un peu mieux la prospérité des années de vaches grasses, les jaloux, les envieux, et les propres bénéficiaires de ces dispositions appellent de leurs vœux un pouvoir fort qui empêche ces réformes (timides ou profondes) de déboucher sur un bouleversement du statu quo social.